Quimpérois de l’année

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J’ai voté en faveur de Jean-Pierre Le Goff, le nouveau patron de la faïencerie HB Henriot (il faut d’ailleurs dire maintenant Henriot-Quimper) comme « Quimpérois de l’année » sur le site d’Ouest France, comme j’avais voté pour lui dans le courant de ce mois comme « Breton de l’année » sur celui du Télégramme.

En juillet dernier, alors que l’entreprise était placée en redressement judiciaire, il avait le soutien du comité d’entreprise pour la reprendre, même si son projet ne permettait de ne conserver que 26 des 50 salariés (notamment les postes de production).

Un mois plus tard, il rachetait aussi l’autre faïencerie de la ville, la « Faïencerie d’Art Breton » permettant ainsi l’établissement d’une synergie que nous espérons tous féconde. Ainsi en quelques jours, la faïence quimpéroise vivait une révolution. Et après des années de déprime, nous sommes nombreux à espérer que cela amorcera une renaissance.

Parce que l’emploi est la préoccupation de tous, en votant pour lui, c’est son engagement personnel que je voulais saluer.

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3 réponses à Quimpérois de l’année

  1. Natacha dit :

    Je partage totalement ce vote pour Jean-Pierre LE GOFF et son engagement d’entrepreneur.

  2. Blivet Agnès dit :

    On salue bien evidemment l’engagement de mr Jean-Pierre Le Goff, en sachant quand même qu’il y a quatre peintres licenciées qui « galèrent »pour se reclasser: Agnès, Marine,Véro et Anne.

  3. PAGE dit :

    Je salue également l’action de M.Le Goff.

    J’ai également beaucoup de respect et d’admiration pour un autre des 14 bretons sélectionnés: Monsieur Raymond Gouiffès qui a permis à 500 familles de l’usine DOUX-Père Dodu de passer un noel moins amer que les autres années grâce aux chèques de 3 000 à 6 000 euros qu’il a pu obtenir, après un long combat syndical, pour chacun. Cette somme représente des millions d’euros et correspond au paiement de simples temps de pause, et notamment, ironie de l’histoire, aux temps de « pause pipi » autorisés mais qui n’étaient plus comptabilisés en temps de travail.

    Je crois qu’il est juste de saluer également l’action de Monsieur Gouiffès.

    Merci Monsieur Urvoas pour vos notes toujours aussi intéressantes.

    Cédric PAGE

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