Commentaires sur : Nos propositions pour le financement des retraites http://www.urvoas.org/2010/05/21/nos-propositions-pour-le-financement-des-retraites/ Thu, 02 Sep 2010 19:09:09 +0000 hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.0 Par : De THONEL d'ORGEIX Francois http://www.urvoas.org/2010/05/21/nos-propositions-pour-le-financement-des-retraites/#comment-13302 De THONEL d'ORGEIX Francois Sat, 05 Jun 2010 08:39:58 +0000 http://www.urvoas.org/?p=5621#comment-13302 Bonjour, J'ai du mal à comprendre que pas un de nos Enarques, politiques, ou éconimiste, n'ai pas encore souligner d'une manière énergique l'aberration qui existe actuellement et depuis toujours dans les techniques de calculs des contributions aux caisses de retraites, versées par les employeurs. Comme tout le monde le sait, chaque salarié contribue avec son employeur, chaque mois, au financement des caisses de retraites. Mais ce que personne ne relève c'est que l'employeur verse pour les salariés un taux de 7.50% du salaire brut pour ceux qui gagnent moins que le plafond SS et entre 21% et 24% sur la partie supérieure au plafond SS pour ceux qui ont un salaire supérieur au plafond mensuel de la sécurité sociale. Savez-vous que ces caisses qui ne font que gérer les Fonds qui leurs sont aloués prélèvent au passage pour rémunérer leurs services ? Et bien ... 1/3 de ces mêmes cotisations ? C'est à dire que pour un taux de cotisation de 7.50% seul 5% vont s'incrémenter au profit des salariés et 2.50% vont dans les poches de ces caisses de retraites et pour les cotisations assises sur la partie supérieure au plafond SS le taux d'appel est de 21% pour un taux réel au profit des salariés de 14%. En pratique c'est comme si quelqu'un ayant 100.000 € allant voir son banquier pour placer cet argent en vue de se constituer un fonds personnel de retraite s'entendait dire par son banquier : "Bien Monsieur, je vais m'occuper de faire fructifier vos avoirs, mais sachez que pour cela, je dois d'abord vous faire un prélèvement de 33.333 € pour mes frais de gestion ??? Tout le monde repartirait en courant en traitant ce banquier de voleur ou d'escroc ... Et bien, c'est ce qui se passe aujourd'hui pour tous les salariés. En faisant un simple calcul, comme il y a environ 30 millions de travailleurs en France, si on considère que le salaire moyen est d'environ 2.000 € par mois nous arrivons à un prélèvement annuel sur les cotisations de retraite de : 30 millions x (2.000 x 12) x 7.50% / 3 = 18 Milliards de cotisations retraites qui disparaissent chaque année au profit de ces gestionnaires ? N'est-ce pas une aberration?. Et encore je ne tiens pas compte de tous ceux qui gagnent plus que le plafonds SS ou le taux de prélèvement de frais de gestion des caisses est également de 1/3. Si on estime que cette population de cadres représente 5 millions de personnes et que ces derniers gagnent en moyenne ( brut par mois ) environ 5.000 € pour un plafond SS mensuel de 2.860 € la base de cotisation est sur la différence soit 2.140 € donc : 5 millions x (2.140x12) x 21ù7% / 3 = environ 9 milliards de prélèvements. Les caisses de retraites prélèvent ainsi chaque année pour simplement gérer les fonds qui leurs sont remis la somme invraisemblable de : 27 milliards d'euros ??? Si l'on ramenait ces prèlèvements au même ordre que ceux pouvant s'appliquer sur une assurance vie soit au plus 3.5% des sommes versées, le coût réel serait de : 1°) pour les salariés ayant un salaire brut < ou égal au plafonds SS : 30 millions x(2.000 x 12 ) x (7.50% x 3.50%) = 1.90 Millards d'euros 2°) pour ceux gagnant plus que le plafons SS 5 millions x (2.140 x 12) x (21% x 3.50%)= 950 millions d'euros. C'est à dire que le problème du financement actuel des retraites serait comblé à concurrence de : - Prélèvements actuels ..... 27 millards d'euros - Prélèvements normaux ..... 3 milliards d'euros --------------------- - Financement gratuit .... 24 millards d'euros Ne devrions-nous pas exiger immédiatement cette réforme par le gouvernement au lieu de devoir supporter - nous tous - un accroissement de la durée du travail de 2 voire trois années de plus pour toucher une misère de retraite ? je vous le demande ?. Nous sommes dirigés pas de brillants Enarques mais qui navigues dans des sphères si hautes qu'ils ne savent même pas qu'elles aberrations ils ont mises en place. FO Bonjour,

J’ai du mal à comprendre que pas un de nos Enarques, politiques, ou éconimiste, n’ai pas encore souligner d’une manière énergique l’aberration qui existe actuellement et depuis toujours dans les techniques de calculs des contributions aux caisses de retraites, versées par les employeurs.

Comme tout le monde le sait, chaque salarié contribue avec son employeur, chaque mois, au financement des caisses de retraites.

Mais ce que personne ne relève c’est que l’employeur verse pour les salariés un taux de 7.50% du salaire brut pour ceux qui gagnent moins que le plafond SS et entre 21% et 24% sur la partie supérieure au plafond SS pour ceux qui ont un salaire supérieur au plafond mensuel de la sécurité sociale.

Savez-vous que ces caisses qui ne font que gérer les Fonds qui leurs sont aloués prélèvent au passage pour rémunérer leurs services ? Et bien … 1/3 de ces mêmes cotisations ?

C’est à dire que pour un taux de cotisation de 7.50% seul 5% vont s’incrémenter au profit des salariés et 2.50% vont dans les poches de ces caisses de retraites et pour les cotisations assises sur la partie supérieure au plafond SS le taux d’appel est de 21% pour un taux réel au profit des salariés de 14%.

En pratique c’est comme si quelqu’un ayant 100.000 € allant voir son banquier pour placer cet argent en vue de se constituer un fonds personnel de retraite s’entendait dire par son banquier : « Bien Monsieur, je vais m’occuper de faire fructifier vos avoirs, mais sachez que pour cela, je dois d’abord vous faire un prélèvement de 33.333 € pour mes frais de gestion ???

Tout le monde repartirait en courant en traitant ce banquier de voleur ou d’escroc … Et bien, c’est ce qui se passe aujourd’hui pour tous les salariés.

En faisant un simple calcul, comme il y a environ 30 millions de travailleurs en France, si on considère que le salaire moyen est d’environ 2.000 € par mois nous arrivons à un prélèvement annuel sur les cotisations de retraite de :

30 millions x (2.000 x 12) x 7.50% / 3 = 18 Milliards de cotisations retraites qui disparaissent chaque année au profit de ces gestionnaires ? N’est-ce pas une aberration?.

Et encore je ne tiens pas compte de tous ceux qui gagnent plus que le plafonds SS ou le taux de prélèvement de frais de gestion des caisses est également de 1/3.

Si on estime que cette population de cadres représente 5 millions de personnes et que ces derniers gagnent en moyenne ( brut par mois ) environ 5.000 € pour un plafond SS mensuel de 2.860 € la base de cotisation est sur la différence soit 2.140 € donc :

5 millions x (2.140×12) x 21ù7% / 3 = environ 9 milliards de prélèvements.

Les caisses de retraites prélèvent ainsi chaque année pour simplement gérer les fonds qui leurs sont remis la somme invraisemblable de : 27 milliards d’euros ???

Si l’on ramenait ces prèlèvements au même ordre que ceux pouvant s’appliquer sur une assurance vie soit au plus 3.5% des sommes versées, le coût réel serait de :

1°) pour les salariés ayant un salaire brut < ou égal au plafonds SS :
30 millions x(2.000 x 12 ) x (7.50% x 3.50%) = 1.90 Millards d’euros
2°) pour ceux gagnant plus que le plafons SS
5 millions x (2.140 x 12) x (21% x 3.50%)= 950 millions d’euros.

C’est à dire que le problème du financement actuel des retraites serait comblé à concurrence de :

– Prélèvements actuels ….. 27 millards d’euros
– Prélèvements normaux ….. 3 milliards d’euros
———————
– Financement gratuit …. 24 millards d’euros

Ne devrions-nous pas exiger immédiatement cette réforme par le gouvernement au lieu de devoir supporter – nous tous – un accroissement de la durée du travail de 2 voire trois années de plus pour toucher une misère de retraite ? je vous le demande ?.

Nous sommes dirigés pas de brillants Enarques mais qui navigues dans des sphères si hautes qu’ils ne savent même pas qu’elles aberrations ils ont mises en place.

FO

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Par : seb http://www.urvoas.org/2010/05/21/nos-propositions-pour-le-financement-des-retraites/#comment-13253 seb Thu, 27 May 2010 07:14:24 +0000 http://www.urvoas.org/?p=5621#comment-13253 L'augmentation des cotisations retraite n'auraient pas d'incidence sur notre compétitivité. D'une part parce qu'une entreprise française souffre plus de l'excès de législation – trop de loi tue la loi et en France les entreprises sont pris dans un étau entre droit européen et droit français – de paperasses, que de « coût du travail ». D'autre part, parce que nous avons une fiscalité complètement dingue, qui entraîne 99,99% de nos compatriotes dans un schéma peu attirant. Enfin, parce que la plupart de nos entreprises sont des PME/PMI et qu'elles n'ont, évidemment, pas les mêmes revendications que celles présentent au CAC 40, qui sont défendues par le MEDEF. Quand le MEDEF parle du « coût du travail » il est évidemment de mauvaise foi. Si une entreprise ne peut être compétitive lorsqu'elle verse son écot pour la répartition, comment pourrait elle financer des salaires mirobolants et donner des dividendes à ses actionnaires, qui entrent 1980 et 2007 ont progressé de pas moins de 5,1 points ? D'où la nécessité d'augmenter les cotisations retraite. Et pour ne pas causer de souci à nos PME/PMI, travailler sur la fiscalité. Dans le même temps, il serait bon d'en finir avec les exonérations de cotisations sociales et donc de cotisations retraite, pour les entreprises. La Cour des Comptes répète en boucle que celles ci n'ont aucun effet sur l'emploi ! Ni sur l'investissement d'ailleurs ou d'autres éléments importants ! Ces exonérations semblent uniquement faites pour graisser les actionnaires qui ont vu leur profit grimper depuis qu'on exonère les entreprises !!! Là encore, c'est la Cour des Comptes qui parle ! Ces exonérations représentent pas moins de 23,4 milliards d'euros ! (Rapport du Sénat) Bon alors je résume : pour l'instant, on a 140 milliards + 23,4 milliards (au moins) qui ont été trouvés. Soit 163,4 milliards d'euros. Il nous reste donc à trouver 36,6 milliards d'euros. Comment ? En jouant sur la fiscalité. En effet, si nous avons besoin d'une croissance de 1,75% pour financer nos retraites, il va falloir l'encourager, cela va de soi ! Nous devons donc redonner du sens aux prélèvements, en France. Là encore, tout est question de bon sens et de volonté politique. Alors on y va. Pour commencer, gardons le bouclier fiscal...Mais à condition que ce dernier prenne en compte non pas le revenu net mais le revenu imposable. De cette manière, effectivement, le bouclier aura un sens, et sera beaucoup moins injuste fiscalement (à l'heure actuelle c'est une politique pour les riches) et en plus on obtiendra de meilleures recettes. Dans le même temps, fusionnons l'impôt sur le Revenu – qui rapporte aujourd'hui assez peu – avec la CSG. Nous aurons ainsi une seule imposition à large base et fort rendement. En compensation de cette charge sur les foyers les plus modestes, la TVA sur les produits de première nécessité, serait réduite comme cela est déjà le cas dans plusieurs pays européens. Evidémment, il faudra renoncer aux niches fiscales qui n'ont aucun caractère social ou familial. Selon le Gouvernement, ledit IR a rapporté 59, 65 milliards d'euros en 2009. En modifiant simplement l'assiette dudit impôt, on obtiendrait des ressources financières proches de celles de la TVA : 131,45 milliards en 2009 ! Autant dire que les 36,6 milliards évoqués tout à l'heure, se trouverait facilement ! Et tout cela, sans s'endetter, menacer notre productivité, ou trop peser sur les ménages !!! Pourquoi, aussi, ne pas plaider – sinon, c'est pas grave, on le fait quand même : mieux vaut une amende que des "déficits abyssaux" – pour une modification du traité de Lisbonne, article 123 ? Cet article consacre le monopole des banques privées en matière de prêts aux Etats, ce qui est aussi bien stupide – mais il est vrai que VGE avait besoin que son fils puisse aller chez les Rotschild – que contraire à la Charte des Droits Fondamentaux du même traité ! (Concurrence libre et non faussée) 1176 milliards d’euros d’intérêts. C’est ce que nous avons payé en 27 ans (et nous continuons à raison de près 120 millions d’euros par jour, oui, par jour) aux déjà plus riches, qui d’ailleurs peuvent ainsi nous les reprêter à nouveau contre intérêt ! C’est un monde de fou ! Mais cette monnaie qu’ils nous prêtent, elle est, comme 93% de la monnaie en circulation, issue de la création monétaire par les banques privées … monnaie évidemment payante bien que créée "ex nihilo", à partir d’une simple ligne d’écriture. Et ces 43 milliards par an sont l’équivalent de 240 airbus A350, ou de 3 portes-avions "Charles de Gaulle", ou de 40 000 belles villas sur la Côte d’Azur, ou de l’isolation (en comptant 10 000 euros par foyer) de 4 270 000 logements, ou un salaire net de 18000 euros annuel (salaire médian en France) à 2 380 000 personnes … mais on peut trouver d’autres exemples ! Le recours à l’emprunt par l’État, qui pouvait se concevoir lorsque la monnaie était représentative d’une certaine quantité de métal (or ou argent) qui à un moment pouvait manquer dans les caisses de l’État, n’a maintenant plus aucune justification depuis que la monnaie est totalement dématérialisée. Entre 1980 et 2006, la dette a augmenté de 913 milliards d’euros, alors que nous avons payé 1176 milliards d’euros d’intérêts. Si nous n’avions pas eu à emprunter ces 913 milliards d’euros sur les marchés monétaires, c’est-à-dire si nous avions pu créer notre monnaie, faire exactement ce qu’ont le droit de faire les banques privées, la dette qui était de 229 milliards d’euros début 1980 serait totalement remboursée en 2006 grâce aux 263 milliards d’euros économisés et nous disposerions en plus d’un solde de trésorerie positif de 263 - 229 = 34 milliards d’euros. Tous ces chiffres sont évidemment en euros constants, valeur 2006. Donnons à la BCE – puisque parait il l’UE est une union d’Etats souverains (et un souverain a un premier pouvoir : celui de créer sa monnaie) – le pouvoir d’émettre toute la monnaie et de prêter aux différents acteurs de l’économie les sommes dont ils ont besoin pour leurs développements. Plus de 300 milliards d’euros d’intérêts, aux taux actuels, reviendront ainsi dans les caisses de la BCE ou/et de la BDF qui pourraient ainsi les redistribuer aux Etats de la zone ! Que changerait la suppression – ou tout au moins la fin de l’interdiction pour les banques publiques (BDF ou BCE) de prêter aux Etats – de l’article 123 ? Tout ! En effet, avec un prêt direct de la Banque Centrale aux collectivités, les intérêts de l’emprunt seraient revenus à la Banque Centrale (et donc, in fine, à la collectivité) NATIONALE ou EUROPEENNE…Alors qu’avec le système actuel – intérêts reversés aux banques privées (responsables de la crise) – la France a donné aux plus riches (des financiers responsables de la crise) plus de 1100 milliards d’euros (valeur 2006) d’intérêts entre 1980 et 2006. Autrement dit, la dette publique cesserait d’être un problème en soi, car les intérêts (ce qui nous coûte le plus cher) serait reversé à la collectivité via la BDF ou la BCE – sur le même principe on a la Sécurité Sociale qui est créancière de l’Etat mais cela ne pose pas de problème puisque la Sécu c’est l’Etat – qui pourraient investir ces intérêts dans des projets ambitieux, européens (on ne cesse de dire que le budget de l’UE est insuffisant pour qu’elle mette en oeuvre toutes ses compétences) et français (pas besoin de "grand emprunt"). Mieux encore, la France retrouverait une liberté qu’elle n’a pas, à cause de sa situation de quemandeuses auprès de certains pays (USA, Chine, etc.) Bien entendu, on continuerait de décompter les dettes contractées par l’Etat envers la BDF ou la BCE comme on le fait pour la Sécu. (Qui est créancière de l'Etat : quand va t on se décider à la rembourser ? Serait ce que le fameux "trou" qui n'existerait pas si le Gouvernement payait ses dettes à la Sécu, et ne dilapidait pas l'argent public pour acheter des vaccins faits à la va vite, donc par définition inefficace Et pour éviter tout laxisme étatique, les Etats membres pourraient être poursuivis par la Commission Européenne s’ils tardent à rembourser leur prêt, notamment pour des raisons électoralistes. Il ne s’agit pas non plus de remplacer un endettement visible et structuré par une simple émission monétaire. En effet, que le prêt au Trésor Public soit direct par la Banque Centrale ou non, car issu de crédits (demande de monnaie) par les banques commerciales, il y a bien une émission monétaire équivalente correspondante à l’origine. Il est seulement question ici, pour économiser le payement d’intérêts à des agents privés, remplacer un “endettement visible et structuré” auprès des détenteurs de capitaux, par un “endettement visible et structuré” auprès de la banque de France, quitte à encadrer les règles d’émission, par exemple au seuls besoins de financement des investissements, en conservant le financement du fonctionnement de l’Etat et des collectivités (y compris, si on veut, les amortissements) par les recettes fiscales. Mais bon, là comme ailleurs, c'est question de volonté politique. Si l'on a réussi à s'entendre pour considérer que les problèmes de la Grèce étaient du domaine de la "catastrophe naturelle" pour justifier l'apport financier de l'Union Européenne - interdit par ledit traité de Lisbonne - on doit bien pouvoir argumenter en disant que les valeurs de l'Europe ne saurait tolérer un monopole indécent des banques à l'endroit des dettes étatiques...Ne serait ce que pour éviter des moyens plus radicaux (du style Philippe Le Bel inventeur de la solution "tout ou rien" : à défaut de pouvoir rembourser mon banquier (les Templiers) je les fais condamner pour des actes pas forcément très vrais, et du coup la dette du pays est effacée !") Le traité de Lisbonne est déjà actuellement violé par trois fois...Alors une de plus... Après tous ces gisements d'argent qu'on donne bêtement, il y a toutes les économies substantielles que peut faire l'Etat : ce qu'on appelle les "gabégies". Qui coûtent des milliards...Mais çà, évidemment, personne n'en parle ! la TVA à 5,5% pour la restauration (3 milliards) ou les travaux de rénovation (5,1 milliards), crédit impôt recherche (4 milliards), prime pour l'emploi (3,2 milliards), exonérations pour les contrats d'assurance-vie (3 milliards), crédit d'impôt pour les intérêts d'emprunt pour l'achat de la résidence principale (1,5 milliards), exonération des heures supplémentaires (1,2 milliards) la liste est longue ! Et toutes ces dépenses ont été mis sous le fer de la Cour des Comptes mais pas que ! Alors ! Que fait le Législateur ? Rajoutons à cela le coût de la "décentralisation". A l'heure actuelle, c'est l'Etat qui détient toutes les manettes, y compris fiscales. Alors le numéro "c'est la faute des collectivités" très peu pour moi. http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/baisses-hausses-des-impots-locaux-71495 Néanmoins, le "je veux le beurre, l'argent du beurre, mais sans avoir de responsabilité dans l'affaire" attitude adoptée par le PS qui veut une "décentralisation" toujours plus forte sans plus d'autonomie financière - ce qui met les collectivités dans la main de l'Etat : vive l'indépendance des élus !!! - n'est pas plus normal ! Alors là, le choix il est simple : soit on en revient à "avant 1981" autrement dit la République Française assume le fait qu'elle est, comme du reste la France, un pays centralisé. Soit on fait une vraie décentralisation en donnant aux élus locaux le pouvoir de déterminer librement les impôts locaux. Bref, on joue la loi de la concurrence au niveau local, ce qui favorisera une bonne gestion des deniers publics. Autant dire que dans un cas comme dans l'autre les économies seront substantielles ! Idem si le Parlement se décide à supprimer la "prime" à la spéculation via les LBO !!!!! Ou encore demande quelques comptes à...L'Union Européenne ! Parce que oui, bien sur, une union d'Etats qui travaillent ensemble c'est formidable...Mais sur le plan économique, ce n'est pas bon pour le pays : -croissance la plus faible de la planète (dixit le patron de Natixis) -législation croisée : droit européen, droit national...D'où délocalisation -rapport dépenses/recettes en baisse continue : autrement dit la France donne toujours plus pour toujours moins -stratégie de Lisbonne : aucun effet positif sur la croissance (la RGPP s'inspire directement de celle ci) L'UE c'est 17 milliards en 2008. En 2050 ? Bref, il y a de l'argent caché partout dans la maison. Mais encore faut il avoir la volonté de le trouver plutôt que de demander au bon contribuable de passer, toujours, à la caisse !!!!! Pour ce qui est des Ministres et des parlementaires, trois idées au lieu de voter une loi constitutionnelle qui sera bafouée dès le premier mois "exceptionnellement" bien sur ! Si l'Etat ne trouve rien à redire à violer les traités qu'il signe, et viole régulièrement la Constitution, je ne vois pas bien l'utilité de rajouter une "règle d'or". Pourquoi, plutôt, ne pas prévoir que les parlementaires, Ministres, Président, soient payés selon des critères méritocratiques ? On pourrait considérer que le salaire "fixe" est de 3000 euros. Si le Ministre fait baisser intelligemment - oui, j'ai dit intelligemment - la dette publique, et bien il obtient une prime de 50%. Si les parlementaires votent une loi ayant cet objectif, et que l'objectif est tenu (s'il ne l'est pas, cela ne vaut pas) ils gagnent 50% de 3000 euros. Ce qui fait un "salaire" de 4500 euros. Si les parlementaires arrivent à faire augmenter - réellement - la croissance de 1%, prime de 50% également. Donc 1500 euros en plus. Si elle dépasse 5% triplement du "salaire". Soit 9000 euros. Si elle est forte, que les déficits sont de peu d'importance, et si enfin elle ne créée pas d'inégalité sociale - autrement dit, la redistribution est bien appliquée - le "salaire" passe de 3000 euros à 30000 euros par mois. EVIDEMMENT, les parlementaires et Ministres PAYENT avec leur "salaire" : -logement (pouvez vous m'expliquer pourquoi je paye un logement à Melle ESTROSI ?) -eau et électricité (comme çà, les parlementaires sauront qu'une augmentation ce n'est pas rien !) -déplacements non compris EN REVANCHE, la REPUBLIQUE offre : -une voiture de TRAVAIL aux Ministres et parlementaires (non une "voiture de fonction) sauf s'ils habitent à Paris (tram, métro, vélo...) -50 déplacements à l'étranger...Justifiés, en avion AIR FRANCE, première classe -50 déplacements en France...Justifiés, en train SNCF ou avion AIR FRANCE en deuxième classe L’augmentation des cotisations retraite n’auraient pas d’incidence sur notre compétitivité. D’une part parce qu’une entreprise française souffre plus de l’excès de législation – trop de loi tue la loi et en France les entreprises sont pris dans un étau entre droit européen et droit français – de paperasses, que de « coût du travail ». D’autre part, parce que nous avons une fiscalité complètement dingue, qui entraîne 99,99% de nos compatriotes dans un schéma peu attirant. Enfin, parce que la plupart de nos entreprises sont des PME/PMI et qu’elles n’ont, évidemment, pas les mêmes revendications que celles présentent au CAC 40, qui sont défendues par le MEDEF.

Quand le MEDEF parle du « coût du travail » il est évidemment de mauvaise foi. Si une entreprise ne peut être compétitive lorsqu’elle verse son écot pour la répartition, comment pourrait elle financer des salaires mirobolants et donner des dividendes à ses actionnaires, qui entrent 1980 et 2007 ont progressé de pas moins de 5,1 points ?

D’où la nécessité d’augmenter les cotisations retraite. Et pour ne pas causer de souci à nos PME/PMI, travailler sur la fiscalité.

Dans le même temps, il serait bon d’en finir avec les exonérations de cotisations sociales et donc de cotisations retraite, pour les entreprises. La Cour des Comptes répète en boucle que celles ci n’ont aucun effet sur l’emploi ! Ni sur l’investissement d’ailleurs ou d’autres éléments importants ! Ces exonérations semblent uniquement faites pour graisser les actionnaires qui ont vu leur profit grimper depuis qu’on exonère les entreprises !!! Là encore, c’est la Cour des Comptes qui parle ! Ces exonérations représentent pas moins de 23,4 milliards d’euros ! (Rapport du Sénat)

Bon alors je résume : pour l’instant, on a 140 milliards + 23,4 milliards (au moins) qui ont été trouvés. Soit 163,4 milliards d’euros. Il nous reste donc à trouver 36,6 milliards d’euros.

Comment ? En jouant sur la fiscalité. En effet, si nous avons besoin d’une croissance de 1,75% pour financer nos retraites, il va falloir l’encourager, cela va de soi ! Nous devons donc redonner du sens aux prélèvements, en France. Là encore, tout est question de bon sens et de volonté politique.

Alors on y va. Pour commencer, gardons le bouclier fiscal…Mais à condition que ce dernier prenne en compte non pas le revenu net mais le revenu imposable. De cette manière, effectivement, le bouclier aura un sens, et sera beaucoup moins injuste fiscalement (à l’heure actuelle c’est une politique pour les riches) et en plus on obtiendra de meilleures recettes.

Dans le même temps, fusionnons l’impôt sur le Revenu – qui rapporte aujourd’hui assez peu – avec la CSG. Nous aurons ainsi une seule imposition à large base et fort rendement. En compensation de cette charge sur les foyers les plus modestes, la TVA sur les produits de première nécessité, serait réduite comme cela est déjà le cas dans plusieurs pays européens. Evidémment, il faudra renoncer aux niches fiscales qui n’ont aucun caractère social ou familial. Selon le Gouvernement, ledit IR a rapporté 59, 65 milliards d’euros en 2009. En modifiant simplement l’assiette dudit impôt, on obtiendrait des ressources financières proches de celles de la TVA : 131,45 milliards en 2009 ! Autant dire que les 36,6 milliards évoqués tout à l’heure, se trouverait facilement ! Et tout cela, sans s’endetter, menacer notre productivité, ou trop peser sur les ménages !!!

Pourquoi, aussi, ne pas plaider – sinon, c’est pas grave, on le fait quand même : mieux vaut une amende que des « déficits abyssaux » – pour une modification du traité de Lisbonne, article 123 ? Cet article consacre le monopole des banques privées en matière de prêts aux Etats, ce qui est aussi bien stupide – mais il est vrai que VGE avait besoin que son fils puisse aller chez les Rotschild – que contraire à la Charte des Droits Fondamentaux du même traité ! (Concurrence libre et non faussée)

1176 milliards d’euros d’intérêts. C’est ce que nous avons payé en 27 ans (et nous continuons à raison de près 120 millions d’euros par jour, oui, par jour) aux déjà plus riches, qui d’ailleurs peuvent ainsi nous les reprêter à nouveau contre intérêt ! C’est un monde de fou ! Mais cette monnaie qu’ils nous prêtent, elle est, comme 93% de la monnaie en circulation, issue de la création monétaire par les banques privées … monnaie évidemment payante bien que créée « ex nihilo », à partir d’une simple ligne d’écriture.

Et ces 43 milliards par an sont l’équivalent de 240 airbus A350, ou de 3 portes-avions « Charles de Gaulle », ou de 40 000 belles villas sur la Côte d’Azur, ou de l’isolation (en comptant 10 000 euros par foyer) de 4 270 000 logements, ou un salaire net de 18000 euros annuel (salaire médian en France) à 2 380 000 personnes … mais on peut trouver d’autres exemples !

Le recours à l’emprunt par l’État, qui pouvait se concevoir lorsque la monnaie était représentative d’une certaine quantité de métal (or ou argent) qui à un moment pouvait manquer dans les caisses de l’État, n’a maintenant plus aucune justification depuis que la monnaie est totalement dématérialisée. Entre 1980 et 2006, la dette a augmenté de 913 milliards d’euros, alors que nous avons payé 1176 milliards d’euros d’intérêts.

Si nous n’avions pas eu à emprunter ces 913 milliards d’euros sur les marchés monétaires, c’est-à-dire si nous avions pu créer notre monnaie, faire exactement ce qu’ont le droit de faire les banques privées, la dette qui était de 229 milliards d’euros début 1980 serait totalement remboursée en 2006 grâce aux 263 milliards d’euros économisés et nous disposerions en plus d’un solde de trésorerie positif de 263 – 229 = 34 milliards d’euros. Tous ces chiffres sont évidemment en euros constants, valeur 2006.

Donnons à la BCE – puisque parait il l’UE est une union d’Etats souverains (et un souverain a un premier pouvoir : celui de créer sa monnaie) – le pouvoir d’émettre toute la monnaie et de prêter aux différents acteurs de l’économie les sommes dont ils ont besoin pour leurs développements.
Plus de 300 milliards d’euros d’intérêts, aux taux actuels, reviendront ainsi dans les caisses de la BCE ou/et de la BDF qui pourraient ainsi les redistribuer aux Etats de la zone !

Que changerait la suppression – ou tout au moins la fin de l’interdiction pour les banques publiques (BDF ou BCE) de prêter aux Etats – de l’article 123 ? Tout ! En effet, avec un prêt direct de la Banque Centrale aux collectivités, les intérêts de l’emprunt seraient revenus à la Banque Centrale (et donc, in fine, à la collectivité) NATIONALE ou EUROPEENNE…Alors qu’avec le système actuel – intérêts reversés aux banques privées (responsables de la crise) – la France a donné aux plus riches (des financiers responsables de la crise) plus de 1100 milliards d’euros (valeur 2006) d’intérêts entre 1980 et 2006.

Autrement dit, la dette publique cesserait d’être un problème en soi, car les intérêts (ce qui nous coûte le plus cher) serait reversé à la collectivité via la BDF ou la BCE – sur le même principe on a la Sécurité Sociale qui est créancière de l’Etat mais cela ne pose pas de problème puisque la Sécu c’est l’Etat – qui pourraient investir ces intérêts dans des projets ambitieux, européens (on ne cesse de dire que le budget de l’UE est insuffisant pour qu’elle mette en oeuvre toutes ses compétences) et français (pas besoin de « grand emprunt »). Mieux encore, la France retrouverait une liberté qu’elle n’a pas, à cause de sa situation de quemandeuses auprès de certains pays (USA, Chine, etc.)

Bien entendu, on continuerait de décompter les dettes contractées par l’Etat envers la BDF ou la BCE comme on le fait pour la Sécu. (Qui est créancière de l’Etat : quand va t on se décider à la rembourser ? Serait ce que le fameux « trou » qui n’existerait pas si le Gouvernement payait ses dettes à la Sécu, et ne dilapidait pas l’argent public pour acheter des vaccins faits à la va vite, donc par définition inefficace Et pour éviter tout laxisme étatique, les Etats membres pourraient être poursuivis par la Commission Européenne s’ils tardent à rembourser leur prêt, notamment pour des raisons électoralistes.

Il ne s’agit pas non plus de remplacer un endettement visible et structuré par une simple émission monétaire. En effet, que le prêt au Trésor Public soit direct par la Banque Centrale ou non, car issu de crédits (demande de monnaie) par les banques commerciales, il y a bien une émission monétaire équivalente correspondante à l’origine.

Il est seulement question ici, pour économiser le payement d’intérêts à des agents privés, remplacer un “endettement visible et structuré” auprès des détenteurs de capitaux, par un “endettement visible et structuré” auprès de la banque de France, quitte à encadrer les règles d’émission, par exemple au seuls besoins de financement des investissements, en conservant le financement du fonctionnement de l’Etat et des collectivités (y compris, si on veut, les amortissements) par les recettes fiscales.

Mais bon, là comme ailleurs, c’est question de volonté politique. Si l’on a réussi à s’entendre pour considérer que les problèmes de la Grèce étaient du domaine de la « catastrophe naturelle » pour justifier l’apport financier de l’Union Européenne – interdit par ledit traité de Lisbonne – on doit bien pouvoir argumenter en disant que les valeurs de l’Europe ne saurait tolérer un monopole indécent des banques à l’endroit des dettes étatiques…Ne serait ce que pour éviter des moyens plus radicaux (du style Philippe Le Bel inventeur de la solution « tout ou rien » : à défaut de pouvoir rembourser mon banquier (les Templiers) je les fais condamner pour des actes pas forcément très vrais, et du coup la dette du pays est effacée ! »)

Le traité de Lisbonne est déjà actuellement violé par trois fois…Alors une de plus…

Après tous ces gisements d’argent qu’on donne bêtement, il y a toutes les économies substantielles que peut faire l’Etat : ce qu’on appelle les « gabégies ». Qui coûtent des milliards…Mais çà, évidemment, personne n’en parle !

la TVA à 5,5% pour la restauration (3 milliards) ou les travaux de rénovation (5,1 milliards), crédit impôt recherche (4 milliards), prime pour l’emploi (3,2 milliards), exonérations pour les contrats d’assurance-vie (3 milliards), crédit d’impôt pour les intérêts d’emprunt pour l’achat de la résidence principale (1,5 milliards), exonération des heures supplémentaires (1,2 milliards) la liste est longue ! Et toutes ces dépenses ont été mis sous le fer de la Cour des Comptes mais pas que ! Alors ! Que fait le Législateur ?

Rajoutons à cela le coût de la « décentralisation ». A l’heure actuelle, c’est l’Etat qui détient toutes les manettes, y compris fiscales. Alors le numéro « c’est la faute des collectivités » très peu pour moi. http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/baisses-hausses-des-impots-locaux-71495

Néanmoins, le « je veux le beurre, l’argent du beurre, mais sans avoir de responsabilité dans l’affaire » attitude adoptée par le PS qui veut une « décentralisation » toujours plus forte sans plus d’autonomie financière – ce qui met les collectivités dans la main de l’Etat : vive l’indépendance des élus !!! – n’est pas plus normal !

Alors là, le choix il est simple : soit on en revient à « avant 1981″ autrement dit la République Française assume le fait qu’elle est, comme du reste la France, un pays centralisé. Soit on fait une vraie décentralisation en donnant aux élus locaux le pouvoir de déterminer librement les impôts locaux. Bref, on joue la loi de la concurrence au niveau local, ce qui favorisera une bonne gestion des deniers publics. Autant dire que dans un cas comme dans l’autre les économies seront substantielles !

Idem si le Parlement se décide à supprimer la « prime » à la spéculation via les LBO !!!!!

Ou encore demande quelques comptes à…L’Union Européenne ! Parce que oui, bien sur, une union d’Etats qui travaillent ensemble c’est formidable…Mais sur le plan économique, ce n’est pas bon pour le pays :
-croissance la plus faible de la planète (dixit le patron de Natixis)
-législation croisée : droit européen, droit national…D’où délocalisation
-rapport dépenses/recettes en baisse continue : autrement dit la France donne toujours plus pour toujours moins
-stratégie de Lisbonne : aucun effet positif sur la croissance (la RGPP s’inspire directement de celle ci)

L’UE c’est 17 milliards en 2008. En 2050 ?

Bref, il y a de l’argent caché partout dans la maison. Mais encore faut il avoir la volonté de le trouver plutôt que de demander au bon contribuable de passer, toujours, à la caisse !!!!!

Pour ce qui est des Ministres et des parlementaires, trois idées au lieu de voter une loi constitutionnelle qui sera bafouée dès le premier mois « exceptionnellement » bien sur ! Si l’Etat ne trouve rien à redire à violer les traités qu’il signe, et viole régulièrement la Constitution, je ne vois pas bien l’utilité de rajouter une « règle d’or ».

Pourquoi, plutôt, ne pas prévoir que les parlementaires, Ministres, Président, soient payés selon des critères méritocratiques ?

On pourrait considérer que le salaire « fixe » est de 3000 euros. Si le Ministre fait baisser intelligemment – oui, j’ai dit intelligemment – la dette publique, et bien il obtient une prime de 50%. Si les parlementaires votent une loi ayant cet objectif, et que l’objectif est tenu (s’il ne l’est pas, cela ne vaut pas) ils gagnent 50% de 3000 euros.

Ce qui fait un « salaire » de 4500 euros. Si les parlementaires arrivent à faire augmenter – réellement – la croissance de 1%, prime de 50% également. Donc 1500 euros en plus. Si elle dépasse 5% triplement du « salaire ». Soit 9000 euros. Si elle est forte, que les déficits sont de peu d’importance, et si enfin elle ne créée pas d’inégalité sociale – autrement dit, la redistribution est bien appliquée – le « salaire » passe de 3000 euros à 30000 euros par mois.

EVIDEMMENT, les parlementaires et Ministres PAYENT avec leur « salaire » :
-logement (pouvez vous m’expliquer pourquoi je paye un logement à Melle ESTROSI ?)
-eau et électricité (comme çà, les parlementaires sauront qu’une augmentation ce n’est pas rien !)
-déplacements non compris

EN REVANCHE, la REPUBLIQUE offre :
-une voiture de TRAVAIL aux Ministres et parlementaires (non une « voiture de fonction) sauf s’ils habitent à Paris (tram, métro, vélo…)
-50 déplacements à l’étranger…Justifiés, en avion AIR FRANCE, première classe
-50 déplacements en France…Justifiés, en train SNCF ou avion AIR FRANCE en deuxième classe

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Par : seb http://www.urvoas.org/2010/05/21/nos-propositions-pour-le-financement-des-retraites/#comment-13252 seb Thu, 27 May 2010 07:08:01 +0000 http://www.urvoas.org/?p=5621#comment-13252 Pourquoi – pour changer ! – ne pas privilégier le souhaitable – intérêt général – plutôt que le possible (pistes gouvernementales téléguidées par le MEDEF) ou le nécessaire (recommandations de la Commission Européenne, dans le cadre de la stratégie de Lisbonne 2000 – 2010) ? Pour le COR, le besoin de financement de l'ensemble du système de retraite s'élèverait à 1% du PIB en 2020 et 1,7% du PIB en 2050. La part des retraites dans le PIB passerait donc de 13,1% en 2006 à 14,8% en 2050. Pour financer des retraites nettes restaurées à 75% du salaire net, et indexées sur l'évolution des salaires, c'est, selon le rapport du COR datant de 2001, 6% du PIB qui devrait être affecté au financement des retraites, soit environ 230 milliards d'euros en 2050. Ce que la France a su faire hier – se sortir de situations apparemment impossibles à résoudre : instaurer la paix religieuse (Henri IV), rendre son indépendance au pays (Jeanne), restaurer la prospérité du pays après 100 ans de guerre (Charles VII), faire gagner la Révolution contre l'Europe coalisée (1789!), conquérir la Bretagne sans trop de heurts (Charles VIII et Louis XII), payer une rançon scandaleuse en pleine guerre civile et armée (Charles V et THIERS), rendre son rang à un pays déshonoré (C. DE GAULLE), faire voter l'abolition de l'esclavage (1789!), faire voter l'abolition de la peine de mort (M. MITTERRAND), instaurer l'école pour tous (J. FERRY) – pourquoi en serait elle incapable aujourd'hui ou demain ? [au passage sur MITTERRAND : je suis un peu étonné que le PS n'ait pas renvoyé l'UMP dans ses buts. En effet, on peut dire beaucoup de choses sur MITTERRAND qui, personnellement, n'est pas pour moi une idole. Mais je dois lui reconnaitre deux choses : il a tenu ses promesses électorales. Et quand ses propositions se sont vues contrecarrées par la réalité, il a appelé un chat un chat, contrairement au Gouvernement actuel qui se refuse à parler de "rigueur" bref à tenir les Français pour des adultes] Comparé à hier, nous avons de formidables leviers ! La seule chose qui manque – faut il aussi envoyer aux politiques de 2010 une envoyée du Ciel pour réveiller le dolent Parlement ? – c'est la foi des politiques envers le pays. Charles VII, bien que sceptique, a cru en Jeanne qui incarnait la France. Ses « conseillers » lui disaient que c'était folie que d'aller de l'avant, de tester des nouvelles méthodes peu orthodoxes. Résultat ? Il a restauré son trône et recouvré ses droits sur la France ! Pourquoi imposer aux Français des rafistolages qui ne résolvent rien – mais augmentent, en revanche, profondément les inégalités – au lieu de faire de vraies réformes, intelligentes et...Qui ne soient pas nuisibles à la Société ? De 1959 à 1999, la part des retraites dans le PIB est passé de 4,4% à 12,1% soit une augmentation de 7,7 points de PIB en 40 ans. Entre 1970 (7,2%) et 1985(12,3%), elle a même progressé de 5,1%. Pourquoi ce qui semble ne pas avoir posé de trop gros problèmes à l'époque...Suscite il aujourd'hui panique et désarroi, tant auprès des parlementaires que du Gouvernement ? Dans le même rapport du COR de 2001, il est dit que le besoin de financement, à réglementation constante, serait de 4% du PIB. Il évaluait, ensuite, à 2 points supplémentaires, le maintien de la retraite nette moyenne à 78% du salaire net moyen. Ce taux moyen était celui qui existait avant la « réforme » BALLADUR et toutes celles qui ont suivi...Et n'ont aucunement réglé le « problème des retraites ». Pourquoi ne pas proposer de revenir à un régime de répartition tel que voulu par les membres du Conseil de Résistance ? Et rechercher ces 230 milliards d'euros nécessaire à son financement ? Déjà, rappelons que notre beau pays – ce n'est pas moi qui le dit, mais le COR – verra son PIB doublé, sinon plus, entre 2000 et 2040. Le PIB augmentera de 1950 milliards en 2009 à 3900 en 2050. (Chiffres en euros constants) Par comparaison, entre 88 et 2008, le PIB de la France a augmenté de 48,37% (INSEE) ! Oui, mais...Nos déficits aussi n'est ce pas ? Sauf qu'il ne faut pas être un grand clerc pour trouver l'explication de ces déficits « abyssaux » qui font que notre pays est « en faillite »...Et cela n'a rien à voir avec le déséquilibre générationnel. En effet, depuis les années 80, les profits financiers ont réussi à prendre 8,5 points de la valeur ajoutée, créée par les entreprises, sur les salaires (28,4% à 36,9%) soit 140 milliards d'euros (en 2009) par an (sur 1700 milliards d'euros). Si cette somme avait été affectée à notre système de retraite, nous n'aurions pas ces « déficits abyssaux » dont on nous parle quotidiennement. Il suffirait donc de corriger la « machine » pour que l'on redonne une place plus grande aux salaires, au détriment des profits...Et l'on retrouverait, chaque année, 140 milliards pour les retraites ! (Sur les 230 milliards nécessaires !) Pour ce faire, les profits pourraient être progressivement ponctionnés, grâce à une augmentation de 0,25 points de cotisations retraite patronales, chaque année pendant 40 ans (comment Mme PARISOT pourrait elle s'y opposer ? Elle, qui réclame un effort « général » ?) tandis que celle salariales augmenteraient de 0,12 points. Si le nombre de retraités augmentent en 2050, qui peut prétendre que les choses resteront figées ? Notre pays – je l'ai dit – verra sa croissance plus que doublée ! Pour une raison que l'on connaît d'ailleurs très bien au Gouvernement, puisque le COR l'a mis en évidence : la productivité ! Il s'avère – comme quoi les Français ne sont pas aussi fainéants qu'on le prétend ! – que nous avons la plus forte productivité du monde ! Ce n'est pas moi qui le dit, c'est l'OMC, l'Union Européenne ! La situation est même plutôt encourageante puisque les Françaises, après une période un peu dure, ont recommencé à faire des bébés ! Certes, plus tard. Mais dans les mêmes proportions ! Or, les bébés font les retraites ! Si notre démographie se porte bien...Et bien nous faisons germer des futurs cotisants pour les retraites ! Et nous le ferions sans doute encore plus si le Gouvernement et le Parlement, au lieu de décourager les familles, se faisaient un devoir de les aider ! Pourquoi pas en donnant de leur personne, même, en la matière ? Ce n'est pas un hasard si de Charles V à DE GAULLE, en passant par la III République ou l'Empire, le pouvoir dit aux Français « faites des bébés » ! Pourquoi avoir écarté – sans aucun débat – l'augmentation réellement efficace des cotisations retraites (qui à la différence des impôts ou des taxes ne sont pas des prélèvements en tant que tels) ? Dans son rapport, le COR constate qu'une telle augmentation a un effet immédiat et durable sur le solde du régime. Plus précisément, le COR explique qu'une augmentation de 15 points sur 40 ans, nous permettrait d'avoir une retraite d'avant les néfastes réformes BALLADUR et compagnie. Soit une augmentation de 0,37 points par an. D'où la proposition d'augmenter par an les cotisations de 0,12% pour les salariés, et 0,25% pour les entreprises. Cela vaudra mieux qu'un allongement interminable des cotisations qui ne fera que conduire – comme c'est déjà le cas – nos retraités vers la misère. Tout le monde y gagnerait. Les salariés en premier lieu, puisque cet effort serait compensé par la perspective d'avoir une retraite réelle, juste et digne, et de ne plus avoir besoin d'alimenter un compte épargne retraite. Les entreprises aussi puisqu'elles seraient dans le même temps exemptées de financer l'épargne salariale (fond de pension) et n'auraient donc plus à lâcher 2 milliards d'euros pour financer les PERCO et autres. L'État enfin, qui n'aurait pas à affecter aux retraites des placements ceci cela. Rajoutons à cela l'interdiction des retraites chapeau. Celles ci ne sont taxées qu'à hauteur de 16% pour les seules sommes dépassant le plafond de la Sécurité Sociale. Si les personnes bénéficiant de ces sommes étaient toutes compétentes, je ne dis pas – quoique déjà obtenir 20 fois le SMIC est profondément scandaleux – mais le plus souvent, sous la pression des actionnaires, elles envoient la société qu'elles ont à gérer à l'abandon, la ruine, la faillite...Et devinez qui est appelé à la rescousse dans ces cas là ? Le bon contribuable ! En 1942, ROOSEVELT qui était franc maçon comme M. BERTRAND, un libéral convaincu, et un partisan de la main invisible, n'hésita pas, lui, à taxer de 88% tout ce qui dépassait un certain seuil de tolérance... Pourquoi – pour changer ! – ne pas privilégier le souhaitable – intérêt général – plutôt que le possible (pistes gouvernementales téléguidées par le MEDEF) ou le nécessaire (recommandations de la Commission Européenne, dans le cadre de la stratégie de Lisbonne 2000 – 2010) ?

Pour le COR, le besoin de financement de l’ensemble du système de retraite s’élèverait à 1% du PIB en 2020 et 1,7% du PIB en 2050. La part des retraites dans le PIB passerait donc de 13,1% en 2006 à 14,8% en 2050. Pour financer des retraites nettes restaurées à 75% du salaire net, et indexées sur l’évolution des salaires, c’est, selon le rapport du COR datant de 2001, 6% du PIB qui devrait être affecté au financement des retraites, soit environ 230 milliards d’euros en 2050.

Ce que la France a su faire hier – se sortir de situations apparemment impossibles à résoudre : instaurer la paix religieuse (Henri IV), rendre son indépendance au pays (Jeanne), restaurer la prospérité du pays après 100 ans de guerre (Charles VII), faire gagner la Révolution contre l’Europe coalisée (1789!), conquérir la Bretagne sans trop de heurts (Charles VIII et Louis XII), payer une rançon scandaleuse en pleine guerre civile et armée (Charles V et THIERS), rendre son rang à un pays déshonoré (C. DE GAULLE), faire voter l’abolition de l’esclavage (1789!), faire voter l’abolition de la peine de mort (M. MITTERRAND), instaurer l’école pour tous (J. FERRY) – pourquoi en serait elle incapable aujourd’hui ou demain ?

[au passage sur MITTERRAND : je suis un peu étonné que le PS n'ait pas renvoyé l'UMP dans ses buts. En effet, on peut dire beaucoup de choses sur MITTERRAND qui, personnellement, n'est pas pour moi une idole. Mais je dois lui reconnaitre deux choses : il a tenu ses promesses électorales. Et quand ses propositions se sont vues contrecarrées par la réalité, il a appelé un chat un chat, contrairement au Gouvernement actuel qui se refuse à parler de "rigueur" bref à tenir les Français pour des adultes]

Comparé à hier, nous avons de formidables leviers ! La seule chose qui manque – faut il aussi envoyer aux politiques de 2010 une envoyée du Ciel pour réveiller le dolent Parlement ? – c’est la foi des politiques envers le pays. Charles VII, bien que sceptique, a cru en Jeanne qui incarnait la France. Ses « conseillers » lui disaient que c’était folie que d’aller de l’avant, de tester des nouvelles méthodes peu orthodoxes. Résultat ? Il a restauré son trône et recouvré ses droits sur la France !

Pourquoi imposer aux Français des rafistolages qui ne résolvent rien – mais augmentent, en revanche, profondément les inégalités – au lieu de faire de vraies réformes, intelligentes et…Qui ne soient pas nuisibles à la Société ?

De 1959 à 1999, la part des retraites dans le PIB est passé de 4,4% à 12,1% soit une augmentation de 7,7 points de PIB en 40 ans. Entre 1970 (7,2%) et 1985(12,3%), elle a même progressé de 5,1%. Pourquoi ce qui semble ne pas avoir posé de trop gros problèmes à l’époque…Suscite il aujourd’hui panique et désarroi, tant auprès des parlementaires que du Gouvernement ?

Dans le même rapport du COR de 2001, il est dit que le besoin de financement, à réglementation constante, serait de 4% du PIB. Il évaluait, ensuite, à 2 points supplémentaires, le maintien de la retraite nette moyenne à 78% du salaire net moyen. Ce taux moyen était celui qui existait avant la « réforme » BALLADUR et toutes celles qui ont suivi…Et n’ont aucunement réglé le « problème des retraites ».

Pourquoi ne pas proposer de revenir à un régime de répartition tel que voulu par les membres du Conseil de Résistance ? Et rechercher ces 230 milliards d’euros nécessaire à son financement ?

Déjà, rappelons que notre beau pays – ce n’est pas moi qui le dit, mais le COR – verra son PIB doublé, sinon plus, entre 2000 et 2040. Le PIB augmentera de 1950 milliards en 2009 à 3900 en 2050. (Chiffres en euros constants) Par comparaison, entre 88 et 2008, le PIB de la France a augmenté de 48,37% (INSEE) !

Oui, mais…Nos déficits aussi n’est ce pas ? Sauf qu’il ne faut pas être un grand clerc pour trouver l’explication de ces déficits « abyssaux » qui font que notre pays est « en faillite »…Et cela n’a rien à voir avec le déséquilibre générationnel.

En effet, depuis les années 80, les profits financiers ont réussi à prendre 8,5 points de la valeur ajoutée, créée par les entreprises, sur les salaires (28,4% à 36,9%) soit 140 milliards d’euros (en 2009) par an (sur 1700 milliards d’euros). Si cette somme avait été affectée à notre système de retraite, nous n’aurions pas ces « déficits abyssaux » dont on nous parle quotidiennement. Il suffirait donc de corriger la « machine » pour que l’on redonne une place plus grande aux salaires, au détriment des profits…Et l’on retrouverait, chaque année, 140 milliards pour les retraites ! (Sur les 230 milliards nécessaires !)

Pour ce faire, les profits pourraient être progressivement ponctionnés, grâce à une augmentation de 0,25 points de cotisations retraite patronales, chaque année pendant 40 ans (comment Mme PARISOT pourrait elle s’y opposer ? Elle, qui réclame un effort « général » ?) tandis que celle salariales augmenteraient de 0,12 points.

Si le nombre de retraités augmentent en 2050, qui peut prétendre que les choses resteront figées ? Notre pays – je l’ai dit – verra sa croissance plus que doublée ! Pour une raison que l’on connaît d’ailleurs très bien au Gouvernement, puisque le COR l’a mis en évidence : la productivité ! Il s’avère – comme quoi les Français ne sont pas aussi fainéants qu’on le prétend ! – que nous avons la plus forte productivité du monde ! Ce n’est pas moi qui le dit, c’est l’OMC, l’Union Européenne ! La situation est même plutôt encourageante puisque les Françaises, après une période un peu dure, ont recommencé à faire des bébés ! Certes, plus tard. Mais dans les mêmes proportions ! Or, les bébés font les retraites ! Si notre démographie se porte bien…Et bien nous faisons germer des futurs cotisants pour les retraites ! Et nous le ferions sans doute encore plus si le Gouvernement et le Parlement, au lieu de décourager les familles, se faisaient un devoir de les aider ! Pourquoi pas en donnant de leur personne, même, en la matière ? Ce n’est pas un hasard si de Charles V à DE GAULLE, en passant par la III République ou l’Empire, le pouvoir dit aux Français « faites des bébés » !

Pourquoi avoir écarté – sans aucun débat – l’augmentation réellement efficace des cotisations retraites (qui à la différence des impôts ou des taxes ne sont pas des prélèvements en tant que tels) ? Dans son rapport, le COR constate qu’une telle augmentation a un effet immédiat et durable sur le solde du régime. Plus précisément, le COR explique qu’une augmentation de 15 points sur 40 ans, nous permettrait d’avoir une retraite d’avant les néfastes réformes BALLADUR et compagnie. Soit une augmentation de 0,37 points par an. D’où la proposition d’augmenter par an les cotisations de 0,12% pour les salariés, et 0,25% pour les entreprises. Cela vaudra mieux qu’un allongement interminable des cotisations qui ne fera que conduire – comme c’est déjà le cas – nos retraités vers la misère.

Tout le monde y gagnerait. Les salariés en premier lieu, puisque cet effort serait compensé par la perspective d’avoir une retraite réelle, juste et digne, et de ne plus avoir besoin d’alimenter un compte épargne retraite. Les entreprises aussi puisqu’elles seraient dans le même temps exemptées de financer l’épargne salariale (fond de pension) et n’auraient donc plus à lâcher 2 milliards d’euros pour financer les PERCO et autres. L’État enfin, qui n’aurait pas à affecter aux retraites des placements ceci cela.

Rajoutons à cela l’interdiction des retraites chapeau. Celles ci ne sont taxées qu’à hauteur de 16% pour les seules sommes dépassant le plafond de la Sécurité Sociale. Si les personnes bénéficiant de ces sommes étaient toutes compétentes, je ne dis pas – quoique déjà obtenir 20 fois le SMIC est profondément scandaleux – mais le plus souvent, sous la pression des actionnaires, elles envoient la société qu’elles ont à gérer à l’abandon, la ruine, la faillite…Et devinez qui est appelé à la rescousse dans ces cas là ? Le bon contribuable ! En 1942, ROOSEVELT qui était franc maçon comme M. BERTRAND, un libéral convaincu, et un partisan de la main invisible, n’hésita pas, lui, à taxer de 88% tout ce qui dépassait un certain seuil de tolérance…

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Par : David CABAS http://www.urvoas.org/2010/05/21/nos-propositions-pour-le-financement-des-retraites/#comment-13244 David CABAS Mon, 24 May 2010 22:28:52 +0000 http://www.urvoas.org/?p=5621#comment-13244 Retraites : mettre fin aux faux débats ! Nous ne devons pas céder au chantage injuste à la dette ! 1)La dette de la France est injuste, elle n'est pas le résultat de trop de santé, trop de services publiques, trop de fonctionnaires, trop de retraites... Mais elle est bien le résultat de la destruction de l'économie physique, et le pillage des établissements bancaires avec de lourds intérêts composés sur la dette depuis la fin du crédit public productif de la Banque de France. La loi Giscard Pompidou du 3 janvier 1973 puis le traité de Maastrich interdit au gouvernement d'émettre de la monnaie et oblige de fait de s'endetter avec des taux d'intérêt aux banques privés ! Chaque jour nous subissons un bourrage de crane qui appelle les citoyens au bon sens avec de mensonges patentés, comment garder une retraite à taux plein si la population vieillie etc etc ! Nous devons sortir de la mentalité monétaire, la mentalité calculette, c'est bien la peine de faire de si grande étude pour apprendre à faire des divisions. Nous devons apprendre les principes de l'économie physique. 1)Une économie à taux plein d'emploi sans chômage ! Et oui c'est minimum avant de parler de rallonger le temps de travail ! 2)Un retour à l'économie productive, et non une économie de financier et de commerce ! Une économie productive peut permettre de redistribuer les vrais fruits de la croissance physique. L'argent n'est pas un richesse, personne ne vit en mangeant des billets. Ceci suppose de sortir de la logique de pillage de notre système actuelle. La force publique et nos responsables politiques doivent reprendre la main sur les intérêts financiers, nous devons remettre en place la loi Glass Steagall à la Française afin de séparer les banques par activités. Les banques de dépôts séparer des banques d'affaire et des compagnie d'assurance afin de remettre les banques à leurs place, travailler pour faire vivre l'économie physique et non jouer l'argent dans la spéculation et les casinos financiers. Citoyens, nous devons nous organiser pour mettre en place une alternative. Vous voulez vous battre pour connaître les agissements des intérêts bancaires et financiers alors rejoins moi sur facebook : http://www.facebook.com/group.php?gid=104166076293247&ref=ts David CABAS http://david.cabas.over-blog.fr Retraites : mettre fin aux faux débats !

Nous ne devons pas céder au chantage injuste à la dette !

1)La dette de la France est injuste, elle n’est pas le résultat de trop de santé, trop de services publiques, trop de fonctionnaires, trop de retraites… Mais elle est bien le résultat de la destruction de l’économie physique, et le pillage des établissements bancaires avec de lourds intérêts composés sur la dette depuis la fin du crédit public productif de la Banque de France. La loi Giscard Pompidou du 3 janvier 1973 puis le traité de Maastrich interdit au gouvernement d’émettre de la monnaie et oblige de fait de s’endetter avec des taux d’intérêt aux banques privés !

Chaque jour nous subissons un bourrage de crane qui appelle les citoyens au bon sens avec de mensonges patentés, comment garder une retraite à taux plein si la population vieillie etc etc !

Nous devons sortir de la mentalité monétaire, la mentalité calculette, c’est bien la peine de faire de si grande étude pour apprendre à faire des divisions. Nous devons apprendre les principes de l’économie physique.

1)Une économie à taux plein d’emploi sans chômage ! Et oui c’est minimum avant de parler de rallonger le temps de travail !
2)Un retour à l’économie productive, et non une économie de financier et de commerce ! Une économie productive peut permettre de redistribuer les vrais fruits de la croissance physique. L’argent n’est pas un richesse, personne ne vit en mangeant des billets.

Ceci suppose de sortir de la logique de pillage de notre système actuelle.

La force publique et nos responsables politiques doivent reprendre la main sur les intérêts financiers, nous devons remettre en place la loi Glass Steagall à la Française afin de séparer les banques par activités. Les banques de dépôts séparer des banques d’affaire et des compagnie d’assurance afin de remettre les banques à leurs place, travailler pour faire vivre l’économie physique et non jouer l’argent dans la spéculation et les casinos financiers.

Citoyens, nous devons nous organiser pour mettre en place une alternative. Vous voulez vous battre pour connaître les agissements des intérêts bancaires et financiers alors rejoins moi sur facebook : http://www.facebook.com/group.php?gid=104166076293247&ref=ts

David CABAS
http://david.cabas.over-blog.fr

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Par : humour japonais http://www.urvoas.org/2010/05/21/nos-propositions-pour-le-financement-des-retraites/#comment-13226 humour japonais Sat, 22 May 2010 18:58:02 +0000 http://www.urvoas.org/?p=5621#comment-13226 des propositions qui vous foutent la rate en court bouillon des propositions qui vous foutent la rate en court bouillon

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Par : seb http://www.urvoas.org/2010/05/21/nos-propositions-pour-le-financement-des-retraites/#comment-13225 seb Sat, 22 May 2010 08:37:20 +0000 http://www.urvoas.org/?p=5621#comment-13225 « l'imagination au pouvoir »...Quand cette phrase sera t elle reprise par le PS ? Si les propositions de l'UMP sont stupides, injustes, mais en plus inefficaces – pour que cela vaille la peine, il faudrait une croissance de 2,5% minimum – celles du PS ne valent pas mieux. Le PS veut, par ex, taxer l'intéressement et la participation. Avec une telle proposition – qui va rapporter quoi ? Trois milliards d'euros ! – le PS semble ainsi vouloir porter encore plus de préjudice à la croissance française et au pouvoir d'achat des salariés ! Au cas où le PS l'ignorerait, la croissance française c'est la consommation qui la porte ! Si les employés se voient retirer une bonne part de leur pouvoir d'achat, c'est la consommation qui en prend un coût car les foyers se serreront encore plus la ceinture. (Il n'y aura même pas besoin d'attendre un vote, la seule perspective d'une telle chose engendrera un tel comportement) Et comme la consommation induit la production...Une entreprise n'embauchera que si elle a des besoins ! Or, si vous augmentez le nombre de chômeurs, vous induisez un coupe encore plus net dans le pouvoir d'achat des gens. Et les pauvres trois milliards prélevés ne serviront strictement à rien ! Autre idée « lumineuse » : augmenter la CSG. L'impôt le plus injuste de France, derrière la TVA et la taxe carbone ! Outre que cette taxe justifie l'irresponsabilité gouvernementale – plutôt que de régler un problème, augmentons les taxes ! – elle est injuste et inconstitutionnelle au regard de la DDHC de 1789 ! Quant aux taxes sur le capital, le PS propose de taxer les bonus des traders et autres trucs du même genre. Bref, dans peu de temps, il suffira aux dits traders et consorts, de taper à la porte de Bruxelles pour que tout ceci soit annulé. Le PS nous propose un programme digne des « notables » de 1788 ! Le système fiscal français est inégalitaire, injuste, et d'une complexité telle que tous les agents économiques fuient le pays ou triment sous la matraque fiscal ? Pas de souci ! Puisque la France a un déficit...Augmentons la taille et consorts ! Et dispensons, surtout, les membres privilégiés de participer à l'effort commun... Pourquoi le PS persiste t il à revisiter les solutions du passé ? Pourquoi ne pas chercher, imaginer, des solutions plus utiles au pays, plus cohérentes pour les Français, et surtout plus dignes d'une République qui se veut...Sociale ? (Article 1er de la Constitution) Pour commencer, le PS ne met pas assez en avant le fait que toutes les politiques publiques de ces trente dernières années qui ont généré les problèmes auxquels nous somment confrontés aujourd'hui, sont liés à l'ignorance, le mépris, ou/et l'oubli des Droits de l'Homme et du Citoyen. Ignorance des responsabilités : le « problème » des retraites ou du déficit public – pour ne citer qu'eux – ne sont pas arrivés par magie. Les Gouvernements successifs – peu importe la couleur politique – se sont refilés la patate chaude les uns après les autres. Imitant ainsi les Ministres successifs de Louis XIII à Louis XV et jusqu'à Louis XVI qui a essayé de « réformer » le pays mais s'est autant vu confronter aux Trois Ordres qu'à ses propres convictions. Le problème des retraites n'est pas un « problème » démographique ou je ne sais quoi d'autres. C'est un problème d'irresponsabilité politique : la « majorité » et « l'opposition » se rejoignant pour « oublier » leurs responsabilités étatiques, à la prise du « pouvoir ». Mépris des Droits de l'Homme et du Citoyen : le PS veut créer augmenter certains impôts et « faire payer les riches » en gros. Cela n'est pas une politique publique çà. C'est jouer des expédients pour se voiler la face en espérant le retour tant attendu de la croissance. Pourquoi ne pas chercher plutôt à agir avec le sens des responsabilités ? « l’imagination au pouvoir »…Quand cette phrase sera t elle reprise par le PS ? Si les propositions de l’UMP sont stupides, injustes, mais en plus inefficaces – pour que cela vaille la peine, il faudrait une croissance de 2,5% minimum – celles du PS ne valent pas mieux.

Le PS veut, par ex, taxer l’intéressement et la participation. Avec une telle proposition – qui va rapporter quoi ? Trois milliards d’euros ! – le PS semble ainsi vouloir porter encore plus de préjudice à la croissance française et au pouvoir d’achat des salariés ! Au cas où le PS l’ignorerait, la croissance française c’est la consommation qui la porte ! Si les employés se voient retirer une bonne part de leur pouvoir d’achat, c’est la consommation qui en prend un coût car les foyers se serreront encore plus la ceinture. (Il n’y aura même pas besoin d’attendre un vote, la seule perspective d’une telle chose engendrera un tel comportement) Et comme la consommation induit la production…Une entreprise n’embauchera que si elle a des besoins ! Or, si vous augmentez le nombre de chômeurs, vous induisez un coupe encore plus net dans le pouvoir d’achat des gens. Et les pauvres trois milliards prélevés ne serviront strictement à rien !

Autre idée « lumineuse » : augmenter la CSG. L’impôt le plus injuste de France, derrière la TVA et la taxe carbone ! Outre que cette taxe justifie l’irresponsabilité gouvernementale – plutôt que de régler un problème, augmentons les taxes ! – elle est injuste et inconstitutionnelle au regard de la DDHC de 1789 !

Quant aux taxes sur le capital, le PS propose de taxer les bonus des traders et autres trucs du même genre. Bref, dans peu de temps, il suffira aux dits traders et consorts, de taper à la porte de Bruxelles pour que tout ceci soit annulé.

Le PS nous propose un programme digne des « notables » de 1788 ! Le système fiscal français est inégalitaire, injuste, et d’une complexité telle que tous les agents économiques fuient le pays ou triment sous la matraque fiscal ? Pas de souci ! Puisque la France a un déficit…Augmentons la taille et consorts ! Et dispensons, surtout, les membres privilégiés de participer à l’effort commun…

Pourquoi le PS persiste t il à revisiter les solutions du passé ? Pourquoi ne pas chercher, imaginer, des solutions plus utiles au pays, plus cohérentes pour les Français, et surtout plus dignes d’une République qui se veut…Sociale ? (Article 1er de la Constitution)

Pour commencer, le PS ne met pas assez en avant le fait que toutes les politiques publiques de ces trente dernières années qui ont généré les problèmes auxquels nous somment confrontés aujourd’hui, sont liés à l’ignorance, le mépris, ou/et l’oubli des Droits de l’Homme et du Citoyen.

Ignorance des responsabilités : le « problème » des retraites ou du déficit public – pour ne citer qu’eux – ne sont pas arrivés par magie. Les Gouvernements successifs – peu importe la couleur politique – se sont refilés la patate chaude les uns après les autres. Imitant ainsi les Ministres successifs de Louis XIII à Louis XV et jusqu’à Louis XVI qui a essayé de « réformer » le pays mais s’est autant vu confronter aux Trois Ordres qu’à ses propres convictions. Le problème des retraites n’est pas un « problème » démographique ou je ne sais quoi d’autres. C’est un problème d’irresponsabilité politique : la « majorité » et « l’opposition » se rejoignant pour « oublier » leurs responsabilités étatiques, à la prise du « pouvoir ».

Mépris des Droits de l’Homme et du Citoyen : le PS veut créer augmenter certains impôts et « faire payer les riches » en gros. Cela n’est pas une politique publique çà. C’est jouer des expédients pour se voiler la face en espérant le retour tant attendu de la croissance. Pourquoi ne pas chercher plutôt à agir avec le sens des responsabilités ?

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Par : Jérôme http://www.urvoas.org/2010/05/21/nos-propositions-pour-le-financement-des-retraites/#comment-13223 Jérôme Fri, 21 May 2010 20:51:47 +0000 http://www.urvoas.org/?p=5621#comment-13223 Il est clair que les quelques pistes floues du gouvernement UMP sur le sujet ne sont pas à la hauteur de l'enjeu. Seul le buzz autour de l'âge légal leur permet d'agiter le chiffon déjà usé de la "réforme". Si nos propositions sont interessantes et concrètes, s'opposer à un recul légal "par tous les moyens" ne me semble pas être la bonne posture. Surtout quand on laisse entendre qu'on pourrait finalement bouger en ... 2025! C'est ça la solidarité intergénérationnelle? Moins de 45 ans, ce bouclier légal ne te concerne pas! Et on maintient le même niveau de pension avec une espérance de vie qui augmente de 2-3 mois tous les ans? Le PS ne doit pas être dans le symbole mais dans un SOCIALISME DU REEL. La pénibilité doit être le coeur de notre réflexion, l'amélioration des conditions de travail un objectif... ok avec Stéphane sur les annuités, certains commencent la vie professionnelle plus tard pour des métiers pas trop pénibles, d'autres plus tôt avec des boulots galères physiquement qui méritent des départs avant 60 ans. La société du "care" ok mais l'audace et la crédibilité seront nécessaire devant les français pour gagner et surtout gouverner en disant ce que l'on veut faire et faire ce que l'on avait dit... Il est clair que les quelques pistes floues du gouvernement UMP sur le sujet ne sont pas à la hauteur de l’enjeu. Seul le buzz autour de l’âge légal leur permet d’agiter le chiffon déjà usé de la « réforme ».

Si nos propositions sont interessantes et concrètes, s’opposer à un recul légal « par tous les moyens » ne me semble pas être la bonne posture. Surtout quand on laisse entendre qu’on pourrait finalement bouger en … 2025! C’est ça la solidarité intergénérationnelle? Moins de 45 ans, ce bouclier légal ne te concerne pas! Et on maintient le même niveau de pension avec une espérance de vie qui augmente de 2-3 mois tous les ans?

Le PS ne doit pas être dans le symbole mais dans un SOCIALISME DU REEL. La pénibilité doit être le coeur de notre réflexion, l’amélioration des conditions de travail un objectif…

ok avec Stéphane sur les annuités, certains commencent la vie professionnelle plus tard pour des métiers pas trop pénibles, d’autres plus tôt avec des boulots galères physiquement qui méritent des départs avant 60 ans.

La société du « care » ok mais l’audace et la crédibilité seront nécessaire devant les français pour gagner et surtout gouverner en disant ce que l’on veut faire et faire ce que l’on avait dit…

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Par : Vive le marché http://www.urvoas.org/2010/05/21/nos-propositions-pour-le-financement-des-retraites/#comment-13215 Vive le marché Fri, 21 May 2010 17:15:03 +0000 http://www.urvoas.org/?p=5621#comment-13215 Aucun pays en Europe ne maintient la retraite à 60 ans , ni au Japon ni aux Usa...seule France le pourrait. A partir de quelle espérance de vie , vous gardez le depart légal à 60 ans ? Comment perdre 2012 avant l'heure....suivez Martine la dogmatique Aucun pays en Europe ne maintient la retraite à 60 ans , ni au Japon ni aux Usa…seule France le pourrait.

A partir de quelle espérance de vie , vous gardez le depart légal à 60 ans ?

Comment perdre 2012 avant l’heure….suivez Martine la dogmatique

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Par : stephane http://www.urvoas.org/2010/05/21/nos-propositions-pour-le-financement-des-retraites/#comment-13209 stephane Fri, 21 May 2010 14:33:57 +0000 http://www.urvoas.org/?p=5621#comment-13209 Il faut maintenir l'âge légal de départ à la retraite à 60 ans même si cela aura peu d'effet dans les années à venir... En effet, il est aujourd'hui beaucoup plus rare de commencer à travailler avant 20 ans et par conséquent l'âge de départ à la retraite sera automatiquement reculé pour avoir le nombre de trimestres nécessaires pour obtenir un retraite à taux plein. Mais cela permettra au moins à ceux qui le peuvent de partir à 60 ans. Le véritable combat me semble d'avantage sur le nombre d'annuité que sur l'âge. DSK semble vouloir ne pas être dogmatique sur la question... ok mais les positions du PS devront être respectées par le ou la futur(e) candidat(e) à la présidentielle... donc soit il accepte le maintien à 60 ans, soit il se met hors jeu pour 2012... Il faut maintenir l’âge légal de départ à la retraite à 60 ans même si cela aura peu d’effet dans les années à venir… En effet, il est aujourd’hui beaucoup plus rare de commencer à travailler avant 20 ans et par conséquent l’âge de départ à la retraite sera automatiquement reculé pour avoir le nombre de trimestres nécessaires pour obtenir un retraite à taux plein. Mais cela permettra au moins à ceux qui le peuvent de partir à 60 ans.
Le véritable combat me semble d’avantage sur le nombre d’annuité que sur l’âge.
DSK semble vouloir ne pas être dogmatique sur la question… ok mais les positions du PS devront être respectées par le ou la futur(e) candidat(e) à la présidentielle… donc soit il accepte le maintien à 60 ans, soit il se met hors jeu pour 2012…

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Par : Roger Keromnes http://www.urvoas.org/2010/05/21/nos-propositions-pour-le-financement-des-retraites/#comment-13207 Roger Keromnes Fri, 21 May 2010 13:28:47 +0000 http://www.urvoas.org/?p=5621#comment-13207 La proposition tient probablement la route financièrement Mais si on consacre de telles sommes au financement des retraites où ira-t-on chercher le financement pour combler le déficit abyssal que nous laisse la droite? J'ai cru comprendre que DSK se démarque un peu en laissant entendre qu'avec l'augmentation de l'espérance de vie il faudra bien envisager de retarder l'age du départ. J'ai peur que le choix du départ dans la position du PS ne soit une remise en cause dans les faits de la retraite par répartition: celui qui aura les moyens suffisants se constiruera un capital pour pouvoir partir à 60 ans. Faire des promesses qu'on ne pourra pas tenir permet peut être de gagner des élections mai aussi de se décribiliser pour l'avenir et de susciter du désenchantement dansde notre électorat La proposition tient probablement la route financièrement Mais si on consacre de telles sommes au financement des retraites où ira-t-on chercher le financement pour combler le déficit abyssal que nous laisse la droite?
J’ai cru comprendre que DSK se démarque un peu en laissant entendre qu’avec l’augmentation de l’espérance de vie il faudra bien envisager de retarder l’age du départ.
J’ai peur que le choix du départ dans la position du PS ne soit une remise en cause dans les faits de la retraite par répartition: celui qui aura les moyens suffisants se constiruera un capital pour pouvoir partir à 60 ans.
Faire des promesses qu’on ne pourra pas tenir permet peut être de gagner des élections mai aussi de se décribiliser pour l’avenir et de susciter du désenchantement dansde notre électorat

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