Début du porte-à-porte

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porte.jpgJe rentre de mon premier porte à porte. Avec Armelle Huruguen, vice-présidente du conseil général et Noël Le Drezen nous avons passé la fin de la matinée dans le nouveau lotissement de Tal Ar Groas à Plomelin.

L’endroit est agréable, les maisons visiblement confortables, les terrains spacieux et nombreux sont les enfants en cette fin de semaine de vacances qui jouent dans les rues. Le soleil favorise la bonne humeur et l’aisance du contact.

Ceux que nous avons croisés n’étaient pas surpris de notre démarche. Personne n’a refusé le programme de Ségolène Royal que nous diffusions. Difficile évidemment de donner une dimension prédictive à ce moment mais je persiste à être optimiste pour ce premier tour.

Plus cette campagne avance et plus je crois que les Français choisiront leur Président, non pas en fonction de son programme ou de sa vision du monde mais de sa capacité à ne pas les inquiéter. Pour tout dire, je suis presque persuadé que celui qui fait le plus peur sera battu. Car ceux que je rencontre veulent que celui ou celle qui sera élu soit un point d’appui pas un point de départ.

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Une réponse à Début du porte-à-porte

  1. François dit :

    Choisir son président en fonction de sa capacié à ne pas inquiéter, c’est choisir Bayrou…

    Réaction de JJU :

    Vous ne devez pas lire mon blog avec assez d’attention ou alors ma capacité de conviction est nulle ! François Bayron ne peut en rien incarner une alternative à Nicolas Sarkozy. Ce n’est qu’au mieux une imposture et au pire une illusion. Pourriez vous m’indiquer un seul moment, de son entrée en politique au cabinet d’Alain Poher en 1981 jusqu’aux derniers mois de 2006, où il a marqué et son parti avec lui une réelle rupture avec la droite ? Pourriez vous me dire si Isabelle Le Bal qui sera la candidate UDF à l’élection législative à Quimper dans sa façon de gérer la ville avec le sénateur UMP Alain Gérard et la députée sortante UMP Marcelle Ramonet incarne une forme de distance par rapport à la droite ? Pourriez vous me montrer en quoi le président UDF du Finistère, le conseiller général Michel Canevet illustre la ligne « d’autonomie » de François Bayrou ? Bref, je suis ouvert à toute forme de politique « par la preuve »… Bon courage !

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